Bonjour chers amis, je me nomme Stéphanie, je suis étudiante à l’Université de Cocody située à Abidjan. J’ai 20 ans. Je sais que ma confiance est un peu drôle, mais j’ai fait tant de mauvaises choses cette année à cause de ma dépendance au sexe.
Je sais que la plupart d’entre vous m’appellerais une prostituée et toutes sortes de noms, mais je ne me soucie pas vraiment, je suis ici pour chercher une solution à mon problème.
J’ai grandi dans une maison chrétienne donc je sortais de chez moi que pour aller à l’école. Du coup je ne connaissais pas grand-chose jusqu’au jour où je suis allées à l’université pour ma première fois. J’ai rencontré un homme, ”professeur d’histoire” qui m’a orienté avec l’école et la façon de procéder à mon inscription. Il m’a dragué, j’ai dit oui immédiatement puisqu’avec tout ce qu’il avait dit, je n’avais pas grand-chose à lui riposter.
Il m’a invité chez lui un vendredi matin ou il a enlevé tous mes habits et m’a fait l’amour. J’avais seulement 19 ans et il avait probablement environ 50 ans. J’étais tellement dépassée que je n’avais pas pu bouger. Donc je l’ai laissé faire même si ça me faisait très mal. Quand je suis partie de sa maison, il ne m’a jamais appelé et ce fut la fin de notre relation. Je n’étais pas triste parce que je découvre quelque chose que je ne l’avais jamais fait dans ma vie. Même si elle était douloureuse, j’avais aimé ce que nous avons fait ce jour-là.
Lorsque nous avons commencé l’école, nous étions environ 1000 dans la classe. Sans vouloir me vanter je suis belle et près de la moitié des gars dans la classe me voulaient comme copine. J’ai eu une relation avec plus de 100 étudiants et 3 professeurs dans cette année à la fac et j’ai couché avec plus de 70 d’entre eux.
Maintenant que nous allons bientôt en vacances, aucun d’eux ne m’a satisfait vraiment. Je ne sais pas quoi faire. C’est comme si je regarde la télévision quand je couche avec un homme. Mes amis me disent combien c’est agréable quand le sexe avec leur copain mais le mien une histoire complètement différente. Aidez-moi, s’il vous plaît. Que faire ?
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