Il est l’heure de mettre le doigt sur cette technique qui en a fait crier plus d’une : « le peaking ».
L’excitation est à son comble. Le désir monte. Et là, alors que vous atteignez le septième ciel, réfrénez l’orgasme pour décupler le plaisir une fois atteint. Une technique (miracle ?) plébiscitée par de nombreux sexologues anglo-saxons.
A chacune son orgasme
Des mots doux ou crus, des caresses, des baisers passionnés… L’orgasme est aussi intime que personnelle. A chaque femme ses points faibles pour perdre la tête. « L’orgasme est aussi unique que [les] empreintes digitales », nous rappelle la sexologue Tracey Cox, dans une interview au Daily Mail. Mais pour atteindre la petite mort à coup sûr, elle nous révèle une technique tout droit venue des pays anglophones.
Le peaking : la formule magique
Le « peaking » s’inscrit dans la lignée du « slow sex » (sexe lent). Oubliez l’idée selon laquelle la fougue et la passion sont indispensables à une nuit torride. Un seul mot d’ordre sous la couette : prendre son temps. Lorsque vous sentez l’orgasme arriver, contrôler-le en ralentissant la cadence. Profitez de la montée orgasmique. Sentez cette vague de plaisir. Amusez-vous à le faire monter et redescende en alternant le rythme… jusqu’à en perdre la tête.
Un peu de préparation avant de passer à l’action
La sexologue Tracey Cox conseille de renforcer son périnée en le contractant régulièrement et à l’aide stimulateurs (doigts, sextoys, pénis, bouche…) pour prolonger le plaisir. Le moment de « libération » n’en est que plus intense.
Par Atti Mahamat Abana
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