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Covid-19 : Les femmes de sciences faces aux challenges

Un atelier de trois jours sous le thème « Women in science and the management of challenges in a Covid-19 world» se tient à l’hotel le Fibi de Yaoundé.

Afin de trouver des solutions face aux différentes maux qu’entrainent la pandémie sur le plan professionnel et académique, les membres de l’office allemand d’échange universitaire (Deutscher Akadermischer Austauschdienst) en abréger (Daad) sont en conclave depuis jeudi 27 Mai 2021. C’est un atelier qui va s’achever le 29 mai sous la houlette de l’office allemand d’échange universitaire avec les fonds du ministère fédéral pour la coopération économique et développement.  L’arrivé du Covid-19 à entrainer des nouveaux comportements sur le plan académique, notamment l’utilisation des Tic et internet pour enseigner, certaines n’étant pas former à ces nouvelles méthodes, c’est dont l’un des objectifs de ce séminaire. Il sera aussi question pour les femmes qui participes à ce séminaire de voir comment allier leur travail d’enseignantes et chercheurs à celles de la femme au foyer. C’est aussi l’occasion pour l’office allemand d’échange universitaire de recruter des nouveaux boursiers, à cet occasion 15 personnes qui ne sont pas membres ont été invité à cet ateliers afin d’être imprégner.  « Ceci est la première rencontre des femmes Daad qui arrivent à point nommée avec un thème intéressant comme vous pouvez le voir. Face à la pandémie les femmes de sciences que nous sommes ne pouvons pas juste rester sans rien faire. Qui sont les femmes de sciences ? où sont les femmes de sciences ? elles font quoi dans la science ? quelles sont les barrières qui les empêches de donner des véritables solution scientifique, technologique et innovative aux challenges dont nous faisons face.  Durant cet atelier, il sera question de voir comment équiper les femmes pour qu’elles puissent prendre les devants pour affronter et combattre le Covid-19. En tant que femmes aujourd’hui, le développent de carrière est important. Et nous devons avoir nos visions et travailler pour l’actualiser », a déclaré, Pr Sarah Anyang Agbor.

Eliane Sara Nématchoua 

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